Description
Je suis comme le marin qui, du large, aperçoit la lumière du phare. Le regard sur soi-même et sur le monde change. L’eau devient transparente et les états d’âme affluent à la surface –d’où l’irrépressible besoin de tenir un livre de bord pendant cent jours. Nos actions, même les plus nobles, sont annihilées par les vagues. Corinne Desarzens a parfaitement résumé cette démarche: Ce n’est pas l’action qui te définit, mais les pensées qui t’habitent.