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Les médias en parlent…

Le journal Riviera Chablais Hebdo a consacré dans son numéro du 27 septembre un beau portait à Philippe Dubath. L’auteur et journaliste de La Tour-de-Peilz présente les 5 et 12 octobre un spectacle avec Jean Winiger et Lydie Souhait, dans lequel il lit des extraits de son dernier ouvrage intitulé Les Coquelicots après la pluie, « une centaine de pages au fil desquelles l’écrivain revisite ses 35 premières années. Tranche de vie délimitée par sa naissance en Lorraine en 1952 et par la mort de son père, survenue en 1987 au bord d’une rivière valaisanne ».

Arc info a consacré le 28 septembre dernier un bel article à Gilbert Pingeon, qui était présent à la première édition du Salon des éditeurs neuchâtelois où il dédicaçait son dernier recueil de nouvelles, Ligne 19. Dans ces récits, « il a trouvé la petite musique qui donne le ton et la couleur de cet ouvrage (…). Les solitudes [s’y] déploient au rythme de monologues et de soliloques (…). Gilbert Pingeon montre surtout qu’il garde intact son goût du rythme et d’une écriture au scalpel ».

Dans Le Matin-Dimanche (édition du 10 septembre 2023), Michel Audétat s’est penché sur le dernier recueil de nouvelles d’Alain Campiotti, intitulé Crime au col. Il note: « L’auteur change de masque, mais demeure dans les mêmes teintes crépusculaires et mélancoliques dont on découvre en marchant le subtil dégradé ». Le journal Le Courrier du 29 septembre s’est aussi intéressé à ce livre et signale que « les textes sont portés par une langue élégante, qui tiennent captifs et ménagent leur chute ». Enfin, Francis Richard consacre lui aussi sur son blog une belle recension.

Benjamin Chaix a consacré un article dans la Tribune de Genève au recueil de nouvelles de Jean-François Berger, Frappes courtes. S’inspirant de ses expériences passées au service du CICR, écrit-il, «Jean-François Berger s’en empare pour animer de petits contes à la saveur du vécu, enjolivés par son imagination et sa plume».

La parution du livre d’entretiens entre Alexandre Adler et Jean-Christophe Aeschlimann, ainsi que la disparition du premier ont sucité deux articles importants, l’un dans le Journal du Jura, l’autre dans Bon pour la tête. Ces deux articles rendent hommage à Adler, récemment disparu, et saluent son érudition. Jacques Pilet écrit: «Ouvrage écrit recommandé pour le massage des neurones historiques. Adler et son partenaire, fort érudit aussi, nous font parcourir le XXe siècle, le début du XXIe, guettant les moments-clés, les tournants, les surprises, les personnages phares. Un peu rapide, léger parfois, mais diablement stimulant.»

Plusieurs articles ont été consacrés au roman de Romain Debluë, La Chasse au cerf. L’un par Michel Audétat dans Le Matin dimanche du 21 mai 2023, l’autre par Elie Colin sur le site L’Incorrect. Cette dernière écrit: « L’auteur renoue avec le roman d’initiation et y déploie une langue magnifique pour nous offrir une véritable symphonie littéraire. »

Pierre Jeanneret consacre un bel article dans Le Courrier Lavaux-Oron-Jorat à Chemins obliques: Sur la Via Francigena, de la Suisse à Rome à pied, de Marie-Hélène Miauton. Ce livre, écrit-il, «est d’abord un éloge de la marche silencieuse, sans oreillettes ni portable, sinon pour bénéficier des informations données par le GPS. Le fait de marcher offre des bienfaits physiques et psychiques, qui nous éloignent de la vie stressante et souvent futile que nous connaissons au quotidien.»

Dans Le Matricule des anges, Yann Fastier consacre un bel article à Gaston Cherpillod et à son Chêne brûlé, réédité cet automne dans la collection L’Aire bleue. «Guetté par le haut mal, il en parle la langue, rapide, nerveuse et comme giclée, qu’on lit comme on dévale une pente au courant, ivre de la vitesse acquise et craignant un peu malgré tout de se casser la gueule.»

Dans le journal Le Temps du 10 décembre 2022, Jean-Marie Félix a publié un très beau portrait d’Alain Bagnoud et évoque les deux romans publiés cette année, dont L’Amant de la déesse Lune. «Son récit teinté d’autodérision permet à Alain Bagnoud, le plus Valaisan des auteurs genevois, de s’interroger sur cette force indéfinissable qui conduit un artiste à créer, malgré les échecs et l’absence de succès.»

Dans Le Courrier du 12 janvier 2023, Pierre Jeanneret rend compte de la parution du livre de Pierre-Yves Maillard, Un vélo pour Noël. En conclusion, il écrit: «Quelles que soient les convictions politiques de chacun, on trouvera beaucoup de plaisir, d’intérêt et d’enseignements à la lecture de cet opus narratif d’un homme engagé.»
Le quotidien Le Temps, sous la plume d’Aïna Skjellaug, évoque le livre en ces termes: «Le candidat socialiste aux Etats sort un recueil de nouvelles touchantes où il se livre avec sincérité. De l’histoire de son grand-père à celle d’une jeune gréviste de Smood, le fil qui les relie est «rouge comme la lutte des ouvriers»
Un article de Lise Bourgeois consacré à Pierre-Yves Maillard et a son livre intitulé Un vélo pour Noël, a été publié dans le quotidien 24 Heures, le 1er décembre 2022. PYM y raconte avec le charisme qu’on lui connaît l’amorce de son engagement en politique, en revenant sur ses années de jeunesse.

Dans le quotidien Le Temps, Jean-Marie Félix consacre une page à Jean-Michel Olivier et à son roman La Fête des Pères. «Peu adepte de la bien-pensance du moment Jean-Michel Olivier ne manque pas de bousculer quelques réalités sociétales du moment, en pointant notamment la difficulté des pères divorcés à endosser pleinement leur rôle paternel.»
Michel Audétat consacre un bel article dans Le Matin-Dimanche du 27 novembre 2022 au dernier roman de Jean-Michel Olivier, La Fête des Pères. «L’écriture nerveuse, la mosaïque des scènes habilement montées, les seconds rôles souvent formidables, tout incite à rester dans cette terrible Fête des Pères jusqu’au générique de fin.»

La Liberté du 26 novembre 2022, sous la plume d’Aurélie Lebreau, a consacré un bel article à l’artiste fribourgeois Hafis Bertschinger et au livre Planète Hafis: 66 ans de sculpture, qui vient de paraître. «Porté par la fondation Hafis et Mara Bertschinger et son président Jean-Robert Gisler, par le photographe Yves Eigenmann, la graphiste Chantal Esseiva et l’historien de l’art Walter Tschopp, cet ouvrage présente une centaine de sculptures d’Hafis et offre une belle porte d’entrée sur le parcours hors normes de cet homme né en 1933.»
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Centenaire du Traité de Lausanne
Il y a bientôt cent ans a été signé le Traité de Lausanne (24 juillet 1923), qui a consacré la naissance de la Turquie moderne, en même temps qu’il enterrait les aspirations des peuples arménien et kurde. En 2014, le texte intégral du traité a été publié aux Éditions de l’Aire, avec une introduction et des commentaires de Sylvie Arsever. A lire absolument !
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